Publications 2016
Diversidad biológica y derecho, in Revista de derecho ambiental
Doctrina, Jurisprudencia, Legislación y Prática, n°47, juillet/septembre 2016
Les notions fondamentales de droit privé à l’épreuve des questions environnementales
Actes du
colloque organisé par l’IRDA et la Cour de cassation, au la grand chambre de la Cour de cassation, le 22 mai 2015.
Publication aux Ed° Bruylant, 2016 (M. Mekki, Dir.)
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Les questions environnementales ne sont plus le monopole du droit public. Se construit progressivement un droit privé de l’environnement. Le droit privé est aujourd’hui mis à l’épreuve de valeurs et d’un mode de raisonnement avec lesquels il reste encore peu familier. Les juristes dits privatistes, universitaires et praticiens (magistrats, avocats, notaires, juristes d’entreprise…), restent parfois perplexes. Ils sont confrontés, tant au fond que dans les méthodes de raisonnement, à un droit qui a, du moins à l’origine, été pensé par des ingénieurs et devait se limiter au seul droit administratif. Face à ce constat, il a paru important aux organisateurs, la Cour de cassation et l’Institut de recherche pour un droit attractif de l’Université Paris 13 (Sorbonne Paris Cité), de s’adresser non pas aux spécialistes du droit de l’environnement mais aux spécialistes des différentes matières du droit privé « impactées » par les questions environnementales. Les questions environnementales viennent-elles enrichir ou appauvrir le droit privé ? Pour tenter de répondre à ces questions, deux axes ont été privilégiés. Le premier s’efforce d’analyser l’incidence des questions environnementales sur les catégories juridiques. Le second consiste à étudier l’incidence des questions environnementales sur les techniques juridiques.
Droit public et droit privé de l’environnement
Actes du colloque organisé par l’IRDA et le CERAP et la Structure Fédérative Développement Durable, au Palais du Luxembourg, le 12 juin 2015
Publication aux Ed° LGDJ coll. Grands colloque, 2016 (E. Naïm Gesbert et M. Mekki, Dir.)
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La présente publication est le fruit d’un colloque intitulé Droit public et droit privé de l’environnement : unité dans la diversité ?, organisé au Sénat. Cet ouvrage est l’occasion de croiser les regards des juristes privatistes et publicistes autour des questions fondamentales qui irradient cette « discipline ». L’objectif a été de dépasser les frontières pour penser ou repenser les problématiques du droit de l’environnement. Cette approche dualiste s’impose d’autant plus que ce droit apparaît davantage comme une « transdiscipline ». La question environnementale du début du XXIe siècle succède ou s’adjoint aujourd’hui à la question sociale du début du XXe. Pour faire état de ce droit qui se joue des catégories et des classifications traditionnelles, les organisateurs ont choisi d’aborder plusieurs piliers de ce temple environnemental en distinguant, en trois temps, les principes, les droits et les techniques. Cet ouvrage est une boîte à outils et un décodeur offrant les moyens d’une relecture plus claire et plus pertinente du droit privé et du droit public de l’environnement. Il s’adresse tant aux praticiens (avocats, notaires, experts…) qu’aux universitaires et étudiants confrontés aux questions environnementales. Sous la direction de Mustapha Mekki, professeur à l’Université Paris 13 – Sorbonne Paris Cité, directeur de l’IRDA et d’Éric Naim-Gesbert, professeur à l’Université Paris 13 – Sorbonne Paris Cité, directeur adjoint du CERAP. Avec les contributions de Philippe Billet, Nathalie Blanc, Sylvie Caudal, Marie-Anne Cohendet, Laurent Fonbaustier, Yves Jégouzo, Jean-Pierre Marguénaud, Gilles J. Martin, Laurent Neyret, François Ost, Pascal Puig, Matthieu Poumarède, Jean-Baptiste Seube, Pascale Steichen et Agathe Van Lang.
Le droit de la régulation audiovisuelle et le numérique
Actes du colloque organisé par l’IRDA et le CERAP, au Palais du Luxembourg, le 12 décembre 2014 et le 16 janvier 2015
Publication aux Ed° Larcier, 2016 (C. Bloud-Rey et J.J. Menuret, Dir.)
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Le droit de l’audiovisuel a connu depuis plus d’une vingtaine d’années de nombreuses transformations pour s’adapter aux évolutions que connait le secteur et répondre aux besoins croissants de régulation. L’apparition et le développement du numérique dans les différents médias a sans doute accéléré les besoins de réforme de la régulation de l’audiovisuel, compte tenu de la convergence constatée entre les deux domaines. Plusieurs lois se sont ainsi succédé en France pour essayer de rendre compte de cette évolution par petites touches successives, sans toutefois remettre en cause en profondeur le dispositif mis en place par la loi du 30 septembre 1986, relative à la liberté de communication. L’adoption des deux lois du 15 novembre 2013, relative à l’indépendance de l’audiovisuel public annonce peut-être un bouleversement à venir. En effet, elles remodèlent à beaucoup d’égards l’organe français de régulation de l’audiovisuel, le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), dont le statut et les procédures sont revues, mais ne le dotent que de rares pouvoirs nouveaux, alors pourtant que les besoins de régulation du secteur sont indéniables. Ce faisant, elles anticipent assurément la réforme à venir, et combien plus difficile, de l’audiovisuel lui-même. Sa redéfinition est en effet nécessitée par la prise en compte de sa convergence croissante avec le numérique (le développement de nouvelles techniques et de nouveaux services aux frontières communes, tels les services de médias audiovisuels à la demande) et le constat que la régulation de ce dernier est déjà éclatée en France entre plusieurs organismes publics autres que le CSA (ANFR, ARCEP, ADLC, HADOPI, notamment), sans oublier évidemment l’influence croissante du droit européen en la matière. C’est sur tous ces aspects et les interrogations qu’ils font naître, que les contributions réunies dans cet ouvrage entendent réfléchir
Le “lobbying responsable”: info ou intox ?
Actes du colloque organisé par l’IRDA, au Palais du Luxembourg, le 28 avril 2014
Publication aux Ed° l’Harmattan, coll. Thèmes et commentaires, 2016 (M.Mekki et P.Y. Monjal, Dir.)
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Perçu avec suspicion, le lobbying est une entrave à la démocratie et une menace pour l’intérêt général. Or faire du lobbying, c’est certes défendre des intérêts catégoriels mais c’est surtout apporter aux producteurs de la norme juridique une expertise précieuse. Faisant état de cette place accordée aux lobbies, cette étude se propose d’apprécier leur légitimité. Peuvent-ils être des acteurs à part entière du processus démocratique ? Peut-on parler aujourd’hui d’un lobbying responsable ? Cette étude se propose d’analyser ce phénomène.